TABLE RONDE 1 : traduction et migrations
Mercredi 17avril, de 12:40 à 14:10

Federico Federici

Siri Nergaard

María Laura Spoturno
Notes biographiques
Federico Federici (University College London)
Federico M. Federici est professeur de Communication interculturelle de crise au Centre for Translation Studies, University College de Londres (Royaume Uni). Il a été membre du Conseil du réseau EMT de Masters Européens de Traduction (2009-2014). Ses recherches portent fondamentalement sur les traducteurs et interprètes en tant que médiateurs interculturels ainsi que sur l’étude de la traduction en temps de crise. Il a mené des recherches sur Italo Calvino et la traduction de langues minoritaires et de dialectes. Il a publié des articles dans des revues telles que Translation Spaces, Translator and Interpreter Trainer, The Italianist et International Journal of Disaster Risk Reduction. Il a également édité un numéro spécial de The Translator intitulé Translating Hazards (2023) ainsi que les ouvrages suivants : Language as a Social Determinant of Health (2022) et Mediating Emergencies and Conflicts (2016). Il a par ailleurs coédité Translating Crises (2022) avec Sharon O’Brien ; Intercultural Crisis Communication (2019) avec Christophe Declercq ; et Eye Tracking and Multidisciplinary Studies on Translation (2018) avec Callum Walker. Il est co-auteur de rapports sur les politiques de communication en situations de crise et sur la communication multilingue dans le secteur humanitaire, ainsi que de rapports gouvernementaux.
Ses recherches portent sur les traducteurs et interprètes en tant que médiateurs interculturels et sur la communication multilingue en situations de crise en cascade. Il s’intéresse également à l’égalité de l’accès à l’information dans les contextes multilingues et aux méthodes empiriques de recherche. ORCID: https://orcid.org/0000-0002-0057-0340.
Siri Nergaard (Universitetet i Sørøst)
Siri Nergaard est professeure à l’Université du Sud-est de Norvège (Universitetet i Sørøst), où elle a démarré une nouvelle carrière après avoir travaillé de nombreuses années aux universités de Bologne et de Florence (Italie).
Ses principales études portent sur la théorie de la traduction, la sémiotique et les études culturelles, ses recherches se concentrant sur les aspects transdisciplinaires de la traduction. Outre de nombreux articles, Nergaard est auteure et coéditrice de plusieurs livres en italien sur les études de traduction. Parmi ses publications les plus récentes, on peut distinguer Translation and Transmigration (Routledge 2021) et un article en norvégien sur la généalogie du concept d’«intraduisibilité» dans les études de traduction. Nergaard s’intéresse en particulier à la relation entre la traduction et d’autres phénomènes sociaux et culturels tels que l’architecture et la migration. Elle travaille actuellement à la publication d’un numéro spécial de la revue Khorein sur la traduction et l’architecture.
Nergaard dirige le FUSP Nida Centre for Advanced Research on Translation (Centre Nida de recherche avancée sur la traduction de la Fondation Unicampus San Pellegrino) et son école estivale annuelle. Elle est également éditrice de la revue Translation: A transdisciplinary journal, publication qui sera prochainement disponible en libre accès.
María Laura Spoturno (Universidad Nacional de La Plata)
María Laura Spoturno est professeure de traduction littéraire à l’Université nationale de La Plata (Argentine) et chercheuse au Conseil national de recherches scientifiques et techniques d’Argentine, où elle travaille à l’Institut de recherches en sciences humaines et sciences sociales. Elle fait partie du Conseil directeur du Laboratoire de recherches en traductologie de son université et du Comité d’ateliers régionaux de l’IATIS. Elle dirige trois projets de recherches qui abordent les problèmes de traduction, la subjectivité et le genre ainsi que les activismes dans une perspective qui tient compte de la responsabilité éthique et sociale impliquée dans la pratique de la traduction et de l’interprétation. Elle fait partie des groupes de recherches suivants : GIR TRADIC et BIFEGA. Ses recherches abordent l’étude de la subjectivité et les pratiques d’auto-traduction et de retraduction, l’hétérolinguisme littéraire et la traduction, les relations entre traduction, genre et féminismes et l’(auto)traduction en exil. Elle a coordonné les ouvrages suivants : Escrituras de minorías, heterogeneidad y traducción (FaHCE, UNLP 2018) et Subjetividad, discurso y traducción: la construcción del ethos en la escritura y la traducción (Ediciones Universidad de Valladolid, 2022). Elle a aussi coédité des dossiers dans différentes revues de traduction. En collaboration avec Olga Castro, elle est éditrice de la revue Feminist Translation Studies (Taylor & Francis).
TABLE RONDE 2 : accessibilité et traduction
Mercredi 17 avril, de 19:00 à 20:30

Carme Mangiron

Anna Matamala

Pablo Romero Fresco
Notes biographiques
Carme Mangiron (Universitat Autònoma de Barcelona)
Carme Mangiron est professeure à l’Université autonome de Barcelone (UAB) et membre du groupe de recherche Transmedia Catalonia. Elle coordonne le Master universitaire en traduction audiovisuelle de l’UAB. Elle a obtenu le Prix à l’excellence de l’enseignement de l’UAB en 2022. Elle possède une vaste expérience professionnelle en tant que traductrice spécialisée dans la localisation de logiciels et de jeux vidéo, notamment la saga Final Fantasy. Ses principales lignes de recherche portent sur la traduction et la localisation de jeux vidéos ainsi que leur accessibilité. Elle a participé à divers projets de recherche nationaux et internationaux. Elle est co-auteure de Game Localization: Translating for the Global Digital Entertainment Industry (2013) avec Minako O’Hagan et a également participé à l’édition deFun for All: Translation and Accessibility Practices in Video Games (Mangiron, Orero & O’Hagan, 2014). Par ailleurs, c’est aussi la principale organisatrice du congrès Fun for all; Translation and Accessibility in Video Games, dont la première édition a eu lieu en 2010 et qui se tient depuis lors à l’UAB tous les deux ans.
Anna Matamala (Universitat Autònoma de Barcelona)
Anna Matamala est docteure en linguistique appliquée (UPF), et professeure en Traduction à l’Université autonome de Barcelone. Chercheuse principale du groupe TransMedia Catalonia, elle a participe depuis de nombreuses années à différents projets européens et nationaux (DTV4ALL, ADLAB, HBB4ALL, ACT, ADLAB PRO, IMAC, TRACTION) y dirección (AVT-LP, ALST, VIW, NEA, EASIT, RAD). Actuellement, elle participe aux projets européens Mediaverse, YoungarcHers et ATHENA et dirige le réseau de transfert AcessCat. Elle a publié de nombreux articles dans des revues à fort impact et une monographie sur les interjections (IEC, 2005) ainsi qu’un ouvrage sur les voix superposées (Peter Lang, 2010) en tant que co-auteure. Elle a également écrit un livre sur la traduction audiovisuelle (Eumo, 2019) et coédité plusieurs volumes sur la traduction et l’accessibilité dans les médias. Elle a obtenu les prix Joan Coromines en 2005, APOSTA en 2011 et Margaret Pfanstiehl en 2021. Elle participe à des activités de normalisation et s’intéresse particulièrement au transfert des connaissances. Plus d’information sur webs.uab.cat/amatamala.
Pablo Romero Fresco (Universidade de Vigo)
Pablo Romero Fresco est professeur titulaire à l’Université de Vigo et professeur honoraire de traduction et réalisation à l’Université de Roehampton, où il a travaillé pendant 10 ans. Il a écrit les ouvrages suivants : Subtitling through Speech Recognition: Respeaking (Routledge), Accessible Filmmaking (Routledge) et Access as transformation: Alternative Media Access (Routledge, en cours). Il est membre du Consello da Cultura Galega et du comité éditorial du Journal of Audiovisual Translation, ainsi que directeur du groupe de recherche GALMA (Galician Observatory for Media Access), au sein duquel il dirige actuellement plusieurs projets de recherche sur l’accessibilité aux médias et à travers lequel il conseille les gouvernements de différents pays (Royaume Uni, Australie et Canada), le Parlement européen, l’Académie espagnole de cinéma et diverses entreprises et chaînes de télévision telles que Netflix, AiMedia, Sky ou Subti. Pablo Romero est aussi réalisateur. Son premier documentaire, Joining the Dots (2012), a été présenté en avant-première à la 69e Mostra de Venise. Son second documentaire, Donde acaba la memoria, a été présenté à la Seminci et au London Spanish Film Festival en 2022.
TABLE RONDE 3 : secteur productif de la traduction
Jeudi 18 avril, de 9:00 à 10:30

Ainhoa Blanco

Adriana M. Blas

Louisa Semlyen
Notes biographiques
Ainhoa Blanco (Lionbridge)
Avec deux décennies d’expérience dans le domaine des services linguistiques, Ainhoa Blanco est actuellement Global Head of Language Excellence à Lionbridge, où elle dirige une équipe d’experts linguistiques dans plusieurs des 27 bureaux de l’entreprise à travers le monde. Elle s’est formée en traduction et en interprétation et, durant 13 ans, elle a eu le privilège d’enseigner les techniques de traduction et d’interprétation dans le domaine universitaire privé. Sa carrière à Lionbridge lui a permis d’assumer différents postes, tous liés à l’univers linguistique : de traductrice à correctrice en passant par la direction d’équipes globales et la gestion de la qualité dans des structures multilingues complexes. Elle est actuellement plongée dans la (r)évolution du monde des affaires avec l’atterrissage de l’IA générative, son éventuel impact sur l’industrie actuelle et future et sur la conception de nouveaux services. Bien qu’elle ne possède pas de publications traditionnelles, elle se distingue par son expérience acquise en collaborant avec d’importants clients de renom dans des projets de multilinguisme au cours de sa trajectoire.
Adriana M. Blas (Asetrad)
Adriana M. Blasest née à Madrid l’année où l’Espagne est entrée dans la Communauté économique européenne, alors que les cassettes vidéo existaient encore, que le VHS était la technologie de pointe et que le groupe Mecano était en tête des hit-parades. Elle a obtenu sa licence en Traduction et interprétation à l’Université Autonome de Madrid en 2008 et travaille comme traductrice depuis 2010. Elle est actuellement traductrice d’anglais et de portugais vers l’espagnol, correctrice et rédactrice de contenus indépendante. Ses domaines de spécialité sont le marketing, le tourisme, la mode et la gastronomie. Membre d’Asetrad depuis 2012, elle appartient à sa Commission de Communication et image de marque, elle collabore avec l’équipe de correction de La Linterna del Traductor depuis son numéro 12 et elle est aussi membre de la Commission Communication et événements de l’association. Depuis mai 2023, elle préside Asetrad.
Asetrad est l’association espagnole de traducteurs, correcteurs et interprètes . Elle a été fondée en 2003 avec l’objectif de promouvoir la reconnaissance de la traduction, la correction et l’interprétation et de défendre les intérêts de ceux qui les exercent. Il s’agit d’une association ouverte qui regroupe des professionnels de divers pays aux trajectoires variées et avec différents niveaux d’expérience, mais aussi des étudiants et des professeurs universitaires, regroupés en deux catégories de membres : les membres professionnels et les membres extraordinaires. Parmi les services offerts aux personnes qui s’associent, figurent non seulement des conseils sur tous les aspects liés à l’exercice de leur profession, mais aussi des conseils juridiques ou fiscaux, la défense de leurs droits devant les organismes publics nationaux ou locaux, ou encore l’organisation de cours, séminaires, concours et tout type d’activités pour la promotion et l’amélioration de la profession.
Louisa Semlyen (Routledge)
Louisa Semlyen est éditrice en chef des secteurs de littérature anglaise et linguistique, études de traduction e interprétation ainsi que littérature chez Routledge. Elle gère une équipe d’éditeurs et supervise tout ce que la maison d’édition publie dans ces domaines. Avec ses plus de 30 ans d’expérience dans le monde de l’édition, Louisa Semlyen publie des ouvrages sur la traduction et l’interprétation depuis le milieu des années 90, ce qui l’a amenée à créer un programme éditorial de premier ordre au niveau mondial comprenant des œuvres de référence telles que la Routledge Encyclopedia of Translation Studies ou les Routledge Handbooks in Translation and Interpreting studies; des manuels essentiels pour les étudiants, d’Introducing Translation Studies 5e à la nouvelle série Routledge Introductions to Translation and Interpreting, ainsi que des volumes fondamentaux, notamment The Translator’s Invisibility ou Translation in Systems.
TABLE RONDE 4 : didactique de la traduction et de l’interprétation et mondialisation linguistique et technologique
Jeudi 18 avril, de 19:00 à 20:30

Michaela Albl-Mikasa

Iria da Cunha

Astrid Schmidhofer
Notes biographiques
Michaela Albl-Mikasa (ZHAW, Zurich University of Applied Sciencies)
Michaela Albl-Mikasa est professeure en études d’interprétation à l’Institute of Translation and Interpreting, appartenant à la School of Applied Linguistics de la ZHAW ou Zurich University of Applied Sciencies (Suisse). Ses lignes de recherche et ses publications portent sur ITELF (interpétation, traduction et anglais lingua franca), les fondements cognitifs de l’interprétation de conférence et communautaire, le déroulement de l’exercice de l’interprétation, la prise de notes pour l’interprétation consécutive et l’interprétation médicale. Entre 2016 et 2021, elle a fait partie du comité exécutif de l’International Association for Translation and Intercultural Studies (IATIS) et depuis 2020 elle est membre du Conseil d’administration de l’European Network of Public Service Interpreting (ENPSIT). Elle est également membre du Swiss Research Centre for Barrier-free Communication et travaille en tant que chercheuse responsable du projet interdisciplinaire Sinergia intitulé Cognitive Load in Interpreting and Translation (CLINT, 2018 – 2022), financé par laSwiss National Science Foundation (SNSF). Elle a édité en collaboration avec Elisabeth Tiselius le Routledge Handbook of Conference Interpreting.
Iria da Cunha (UNED, Universidad Nacional de Educación a Distancia)
Iria da Cunhaest docteure en Sciences du langage et linguistique appliquée de l’Université Pompeu Fabra. Elle actuellement professeure à la faculté de philologie de l’Université nationale espagnole d’enseignement à distance où elle a auparavant été chercheuse Ramón y Cajal. Elle est membre à part entière de la Jeune Académie d’Espagne, membre du conseil d’administration de l’Association espagnole de terminologie et membre du Comité de l’organe technique AEN/CTN 191 de l’Association espagnole de normalisation. Elle a écrit 120 publications scientifiques parmi lesquelles se trouvent les ouvrages intitulés El discurso del ámbito de la Administración. Una perspectiva lingüística, et Lenguaje claro y tecnología en la Administración, tous deux publiés chez Comares. Elle a participé à plus de 23 projets de recherche et a été IP de quatre d’entre eux, dont un financé par la fondation BBVA par le biais d’une bourse Leonardo et trois par le Ministère espagnol des sciences et de l’innovation. Elle a créé arText, un logiciel d’aide à la rédaction de textes spécialisés et de textes en langage clair.
Astrid Schmidhofer (Universität Innsbruck)
Astrid Schmidhofer est docteure de l’Université de Cordoue et travaille comme enseignante-chercheuse au Département de traduction et interprétation de l’Université d’Innsbruck où elle donne des cours de traduction, interprétation, langue, traductologie et études culturelles. Ses principales lignes de recherche sont la formation des traducteurs, la didactique de la traduction, la traduction automatique dans une perspective didactique et la linguistique contrastive (allemand-espagnol). Depuis septembre 2021, elle dirige un projet financé par le Fonds autrichien pour la science et la recherche (FWF) sur la compétence linguistique du traducteur et de l’interprète et la manière dont elle peut se développer au sein et en dehors des programmes universitaires de traduction et d’interprétation. Ella a écrit de nombreux articles dans des revues spécialisées ainsi que des ouvrages collectifs et elle est coéditrice de la série Forum Translationswissenschaft de Peter Lang.
TABLE RONDE 5 : éthique et qualité dans les industries de la traduction
Vendredi 19 avril, de 11:45 à 13:15

Alan K. Melby

Joss Moorkens

Sharon O’Brien
Notes biographiques
Alan K. Melby (LTAC Global, FIT North America)
Il a grandi en Indiana et s’est toujours considéré comme originaire de cet État (un Hoosier).
Au milieu des années 60, alors qu’il étudiait à l’étranger, à St Brieuc (France), il a commencer à se sentir fasciné par le monde de la traduction. En 1978, après avoir terminé son doctorat en linguistique informatique, il est passé par une crise intellectuelle en réfléchissant à la nature du langage, ce qui l’a amené à conclure qu’atteindre l’univocité du langage général était une chimère, mais que la terminologie pouvait et devait être univoque. En 1979, il a changé de domaine et a commencé à étudier les outils destinés à assister les traducteurs humains. Dans les années 1980, il est devenu traducteur assermenté dans la combinaison français-anglais en obtenant un certificat de l’American Translators Association (ATA). Par la suite, dans les années 90, il a commencé à s’intéresser à la philosophie du langage et a publié, en collaboration avec le philosophe Terry Warner, un livre sur la traduction humaine et automatique intitulé (The possibility of Language).
Au cours du XXIe siècle, il s’est dédié à servir la profession. En tant que tel, durant ces dernières années, il a fait partie de comités directeurs de plusieurs associations de traduction : tout d’abord l’ATA (https://www.atanet.org/); puis la FIT (fit-ift.org). Actuellement (2023), il est président du LTAC Global (ltacglobal.org), une petite organisation à but non lucratif. Il est également président du centre régional de la FIT pour l’Amérique du Nord et contribue à l’élaboration de normes de traduction. Du point de vue académique, il est professeur émérite car il a pris sa retraite en 2014. Depuis 2015, il travaille à élargir les horizons des normes de traduction vers l’évaluation de la qualité des textes cibles dans le cadre MQM (Multidimensional Quality Metrics for Translation Quality Evaluation) , sous l’égide de l’ASTM International (www.astm.org), un organisme de normalisation.
Joss Moorkens (Dublin City University)
Joss Moorkens est professeur à la School of Applied Language and Intercultural Studies, qui dépend de la Dublin City University (DCU). En outre, il travaille comme coordinateur de l’ADAPT Centreet fait partie de l’ Institue of Ethics de la DCU et du Centre for Translation and Textual Studies. Ses recherches et ses publications portent sur diverses lignes thématiques telles que les technologies de la traduction, la post-édition en traduction automatique, l’évaluation de la traduction automatique par les usagers, la précarité du traducteur et l’éthique de la traduction. Dans le secteur éditorial, il est coéditeur général de la revue Translation Spaces, avec la professeure Dorothy Kenny, ainsi que de multiples ouvrages et numéros spéciaux de différentes revues. Il est également co-auteur du livre intitulé Translation Tools and Technologies (Routledge, 2023) et d’un volume sur la traduction automatique et l’automatisation qui sera publié chez Routledge en 2024.
Sharon O’Brien (Dublin City University)
Sharon O’Brien est professeure en Éudes de traduction à la School of Applied Language and Intercultural Studies, qui dépend de la Dublin City University (DCU). Elle donne, entre autres, des cours de technologies de la traduction, localisation, méthodes de recherche et traduction en temps de crise. Elle est en outre vice-doyenne pour la recherche de laFaculté de sciences humaines et sociales, coordinatrice du réseau International Network in Crisis Translation, un projet financé par l’Union européenne et, pendant plus de dix ans, elle a travaillé en tant que chercheuse subventionnée à l’ADAPT Centre, un centre de recherches national dépendant de la Science Foundation Ireland. Du point de vue académique, elle a jusqu’à présent dirigé douze thèses doctorales et à supervisé la trajectoire de nombreux étudiants post-doctoraux. Vous pouvez obtenir de plus amples informations sur la professeure.